LES GROUPES POLITIQUES DU QUÉBEC ONT DES POSITIONS DIFFÉRENTES SUR L’IMMIGRATION

LES GROUPES POLITIQUES DU QUÉBEC

À l’instar des autres régions du monde développé, le Canada, en particulier la province canadienne du Québec, est actuellement aux prises avec une grave pénurie de main-d’œuvre qualifiée. Par conséquent, un grand nombre de débouchés restent vacants dans la province.

Pour faire face à la situation et faire quelque chose de productif à ce sujet, les trois principaux partis politiques de la province auraient récemment dévoilé leurs plans pour une approche de l’immigration visant à remédier aux carences croissantes en matière de main-d’œuvre.

Il s’agit d’une question tout à fait différente de la question qui s’est transformée en un débat plutôt controversé sur les partis qui valorisent réellement les contributions apportées par les immigrants de la région.

Parlant de la question, le Premier ministre sortant de la région aurait déclaré que les travailleurs devaient être importés d’outre-mer, de toute religion, de toute langue ou de toute couleur.

Son point de vue a trouvé une monnaie commune puisque les trois principaux partis de la province semblent avoir la même position sur la question, car ils auraient, semble-t-il, compris qu’il s’agissait d’un GRAND problème. Mais si leurs positions sont les mêmes sur le sujet, leurs solutions proposées ne le sont pas.

Selon les informations disponibles, après qu’un migrant arrive au Québec , plus du quart d’entre eux, suffisamment qualifiés pour pourvoir à plusieurs emplois, décide de quitter, alors que moins de 4% d’entre eux décident de rester dans les régions de la province et 15% au chômage depuis plusieurs années.

Dans un tel scénario, comment attirer et fidéliser les immigrants nécessaires à la province?

Selon une formation politique de la province, il créerait un cadre permettant de reconnaître les compétences à l’étranger avant que les étrangers ne se manifestent. Elle aurait également prévu d’accélérer le processus d’immigration, souhaitant travailler à l’extérieur de Montréal ou de la ville de Québec, et c’est une idée avec laquelle même le premier ministre serait d’accord. Le parti politique en question affirme que tout immigrant s’installant au Québec devrait déjà converser en français.

Les libéraux, d’autre part, auraient affirmé qu’ils investiraient des millions de dollars dans la formation en français, mais qu’ils ne rendraient pas obligatoire le dépôt d’une demande de résidence permanente (RP) .

Une autre partie affirme que, si elle en avait l’occasion, elle inciterait les immigrants non francophones à apprendre la langue pendant une période de trois ans ou à quitter la province.

Partageant son point de vue sur la question de la langue et sur la position des différents groupes politiques de la région, une personne concernée aurait déclaré que c’était le gros problème au Québec. La langue devient davantage une question de capacité à être français dans la province.

Après le début officiel de la campagne électorale dans la province le 29 août, les différents partis s’efforceront de convaincre les habitants du Québec que chacun de leurs projets est le meilleur et le plus pratique.